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📖Le roman de ma vie ✒️Chapitre 12 : ma dissociation avec mon corps

  • Photo du rédacteur: magalistraub
    magalistraub
  • 11 nov. 2020
  • 2 min de lecture

De mes 13 à 40 ans (cf mon pacte inconscient ✒️Chapitre 4), ma partie enfant intérieure adolescente m’avait éloigné encore plus des hommes, en mettant une barrière physique « une carapace » très efficace : mon corps en surpoids.


Alors oui, derrière une alimentation trop riche et abondante se cache un manque, une carence affective à combler.


🌸 Aujourd’hui, grâce à mon travail sur moi, je me dis que ça serait bien de perdre du poids pour des raisons de santé, mais le chocolat est toujours mon petit pécher mignon à moi et je mange sans culpabilité 😉

A l’époque, face à ce corps disgracieux (vs les dictâtes sociétales) je ressentais du dégout, lorsque je regardais mon image dans un miroir ou sur des photos.


Je n’aimais pas cette enveloppe corporelle : inesthétique, lourde, inconfortable voire douloureuse.


Alors oui, j’avais bien identifié & ressenti des douleurs dans mon corps, mais je n’arrivais pas à prendre soin de lui régulièrement.


Je rejetais mon corps. Je faisais en sorte de ne plus le voir. J’ai mis en place un véritable stratagème de dissociation (inconscient) entre mon visage (ma tête) et mon corps.


>>> Comment arriver alors, à se connecter à ses émotions ?

>>> Comment arriver alors, à se connecter aux signaux de son corps ?

J’ai commencé à me reconnecter à lui, lors de ma psychanalyse, en faisant mon travail de deuil de ma maman, et ce grâce à mes émotions.

Être secouée physiquement par la peur, la colère et la tristesse m’a fait prendre conscience des sensations dans mon corps en 2015/2016.


En 2017/2018, prise dans mes mauvais schémas mentaux, j’ai remis une cloche.


Mon corps à travers mes émotions, mon dos, ma peau (cf verneuil), me parlait par tous les moyens.


Comme je ne pouvais pas être réceptive (tellement mon mental faisait barrière), mon corps a tapé fort, il a craqué : burnout.

J’ai passé des mois à dormir, j’ai passé des mois à avoir des problèmes de concentration. En janvier 2019 je ne pouvais travailler que 30 minutes par jour, alors que j’étais en formation de coaching que j’adorais, ce n’était pas l’envie ou le plaisir qui faisaient défaut. Mon cerveau avait saturé.

Depuis, je me chouchoute, je me répare. La réparation est très longue. Le cerveau a besoin de répétition et de temps.

🌸 J’ai passé 8 ans à m’occuper de ma santé mentale. Aujourd’hui je souhaite commencer à m’occuper de ma santé physique. Les 2 étant intimement liées.


30 ans de négligences (et oui je prends mes responsabilités 😉) ne se rattrapent pas d’un coup de baguette magique.


Je vais à mon rythme, petit pas par petits pas 👣.


Même si j’ai conscience que perdre du poids, arrêter de fumer, faire du sport seraient nécessaires, je fais ce que je peux….



ree

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xx

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